A l’aube de la cinquantaine, Laure ne supporte plus rien : ni son travail, ni son mari Daniel…ni sa vie. Le seul être qui trouve grâce à ses yeux et constitue son seul allié est Max, son chat. Lorsque ses amis de toujours débarquent à la campagne pour fêter l’anniversaire de Daniel et que Max le chat disparaît, Laure disjoncte…et se met à enquêter. Qui a fait disparaître Max ? Qui est le coupable ? Laure n’est pas au bout de ses surprises.
Deux sœurs que tout oppose. Joséphine, 40 ans, historienne spécialisée dans le 12ème siècle, confrontée aux difficultés de la vie; et Iris, outrageusement belle, menant une vie de parisienne aisée et futile. Un soir, lors d’un diner mondain, Iris se vante d’écrire un roman. Prise dans son mensonge, elle persuade sa sœur, abandonnée par son mari et couverte de dettes, d’écrire ce roman qu’Iris signera, lui laissant l’argent. Le succès du livre va changer à jamais leur relation et transformer radicalement leurs vies.
La famille Celliers est une famille ordinaire : tous les membres qui la composent sont
complètement timbrés. Mady, mère au foyer, la soixantaine éclatante, passe la majeure partie de son temps à dire des horreurs de ses deux filles et de son mari, Henry, ancien grand patron, être étrange qui régresse bizarrement depuis son départ à la retraite. Antoine, le
frère aîné, chef d’entreprise incapable de gérer une société, enchaîne faillite sur faillite tandis qu’Alice, sa soeur, peint compulsivement, entre deux avortements, des madones dépressives et toxicomanes. Quant à Annabelle, infirmière dans une unité de soins intensifs, elle tente désespérément de sauver ses proches en leur prédisant l’avenir dans les cartes.
Tout irait dans le meilleur des mondes chez les Celliers si Alice ne croisait pas ''par hasard'', un soir de déprime, Jacques, flic solitaire et désabusé, grain de sable qui viendra gripper les rouages parfaitement huilés de leurs névroses familiales. Tout
éclatera... pour le meilleur ou pour le pire.
Promise à un brillant avenir professionnel mais fatiguée de voir sa carrière plafonner parce
qu’elle doit s’occuper en plus de toutes les tâches quotidiennes, Marianne, par des moyens plutôt gratinés, va pousser son mari Bruno, financier de haut vol, à partager le quotidien plus équitablement. Parité plutôt que disparité, 48 Heures par Jour est une comédie sur le sort des femmes d’aujourd’hui qui jonglent en permanence entre boulot, mari, enfants et maison.
Juliette, Florence et Marie sont amies d'enfance. Toutes trois cloisonées, dans une vie urbaine, sans répit, entre travail et vie privée volent régulièrement quelques moments pour se retrouver. Un constat s'impose : à 35 ans, les idéaux se sont estompés et la réalité prend le pas. Ceci dit, mieux vaut en rire qu'en pleurer.