Mademoiselle Boyer arrive de métropole dans un village algérien à l'aube de la Deuxième Guerre Mondiale. Elle bouleverse cette société archaique baignant dans le quotidien. Elle déclenche des passions d'amour et de haine et finira par partir, laissant dans le coeur de son élève, Mouloud, une blessure ineffacable...
Dans la Grèce contemporaine, les forces libérales s'opposent, de façon latente ou ouverte, au pouvoir. C'est dans ce climat tendu que débute le film, au moment où un groupe d'avocats et de militants libéraux ont organisé un meeting où parlera leur chef, le député Z.
Des années après l'indépendance, la guerre tue toujours à Soulima, ce village frontalier quasi encerclé de mines dont les victimes ne se comptent plus. Malgré tous ces morts, les habitants restent enracinés dans leur terre ancestrale. Parmi eux se détache la noble figure de Zhora qui parait être l'âme du village...
Une famille algérienne, le père, la mère et le fils, est prise dans l'engrenage de la guerre. Le père est tué par un bombardement de l'aviation. Le fils, maquisard, finit par être arrêté par la force coloniale. Après le saccage de leur maison, la mère quitte le douar et s'en va, inlassablement, de camp en camp pour tenter de retrouver son fils.
Les malentendus et les problèmes d'identité, à travers l'histoire d'un petit homme entraîné dans le feu de la révolution et qui devient héros malgré lui.
Jean Dubreuil, jeune homme sans trop de scrupules, se laisse entraîner par un ami dans le vol de la caisse d'un cirque. Jean s'empare de l'argent, mais le hold-up troune mal : son ami blesse l'un des employés du cirque qui les poursuivait. Dès lors, Jean est vite arrêté... Les inspecteurs Muller et Borelli sont chargés de l'affaire.
Récit complexe d'une femme qui devient chef de sa communauté, dans le contexte de l'émancipation de la femme algérienne.