Jean Rouch

Jeunesse des sixities (2015)

Photo dernier film Jean Rouch
Photo dernier film Jean Rouch
Jean Rouch

Filmographie

Rituel funeraire chez les Dogons du village d'Ireli, falaise de Bandiagara, au Mali.

Les jeunes d'Ayorou, au Niger, construisent dans une ile un habitat en utilisant les techniques anciennes du Banco (nise) et des enduits impermeables, mais ils s'inspirent toutefois de l'architecture des villes modernes.

Prix au Festival de Venise. Les Haouka sont des adeptes d'une secte religieuse qui se retrouvent le dimanche dans les faubourgs d'Accra au Ghana pour une cérémonie rituelle. Les participants entrent en transe et se donnent des rôles. Mais les dieux qui les habitent ne sont plus ceux de de la tradition. Ils ont pour noms «Gouverneur», «Médecin, «Caporal de garde» et autres mythes vivants de la puissance coloniales.

Entretien avec le sculpteur Taro Okamoto dans son atelier de Tokyo. Taro Okamoto, étudiant de Marcel Mauss à Paris dans les années trente, parle de l'influence de Mauss sur son art, sa manière de penser et de vivre.

Un vendeur de poulets et son collègue, en tournée de brousse dans leur camionnette, rencontrent sur leur chemin une diablesse qui leur jette un sort.

Trois amis du Niger partent étudier les système hydrauliques en Hollande. Une fiction documentaire où se confrontent les cultures.

Jean Rouch visite la mosquée du Shah, à Ispahan, en compagnie de son ami Farrokh Gaffary, cinéaste et producteur iranien.

Poème autour du pont de Gustave Eiffel qui enjambe le Douro.

Au Niger, une femme songhaï apprend les pas de la possession. Grand prix, Festival du maudit, Biarritz 1949.

A Niamey, pendant sept jours se déroule le Horendi, au cours duquel se recrutent les "chevaux des génies" (danseurs de possession). Deux jeunes femmes malades, possédées en permanence depuis plusieurs semaines, sont initiées à la danse de possession.

Au milieu du XIXe siècle, des cavaliers Songhay se mirent au service des Dagomba du Nord du Ghana, en lutte contre le royaume Ashanti de Kumasi. La guerre terminée, les cavaliers restèrent dans le pays et, conduits par des chefs légendaires - Alpha Bano, Gazari, Babatu - ils devinrent maîtres du pays Gurunsi. Ainsi, comme faisaient jusqu'à la conquête coloniale les jeunes aventureux Songhay, Lam et Damouré partent « chez Babatu » en quête d'aventures.