Masato Harada

Un travesti qui travaille dans un bar gay entame une relation avec son patron, un homme beaucoup plus âgé que lui et découvre que ce dernier est son père.

Le capitaine Nathan Algren est ressorti traumatisé des guerres de Sécession et contre les Indiens. Envoyé au Japon par son pire ennemi, Nathan est chargé de mater la rébellion du samouraï Katsumoto et de ses hommes qui refusent l'ordre "moderne" que veut installer le jeune empereur. A l'issue d'une bataille acharnée, Nathan est retenu prisonnier au village de Katsumoto, découvre la culture du pays et finit par faire sienne la ligne de conduite des samouraïs. Devenus amis, Katsumoto et Nathan vont prendre les armes, ensemble, pour que l'ère des samouraïs perdure.

Le Capitaine Nathan Algren est un homme à la dérive. Les batailles qu'il a menées autrefois lui semblent désormais lointaines et dérisoires. Par honneur et pour son pays, Algren a risqué sa vie mais depuis la Guerre de Sécession, le monde a changé : le pragmatisme remplace le courage, les intérêts personnels ont pris la place du sacrifice et l'honneur a définitivement disparu.
A l'autre bout du monde, un autre soldat voit sa vie sur le point de basculer. Katsumoto est le dernier d'une lignée de guerriers, les vénérés Samourais. Mais le monde moderne menace dorénavant les valeurs et les codes pour lesquels les Samourais ont vécu et ont perdu leurs vies pendant des siècles.
Les chemins de ces 2 guerriers convergent lorsque le jeune Empereur du Japon engage Algren pour entrainer la 1e armée de conscription japonaise. Sa rencontre avec les Samourais va lui rappeller l'homme qu'il était autrefois. Il sera alors immergé dans une bataille violente et épique entre deux époques et deux mondes différents, avec son seul honneur pour le guider.

1841, ère d’Edo. Le temple Tokeiji, à Kamakura, permet aux femmes d'obtenir exceptionnellement le divorce, par mandat du shogunat. Shinjiro, docteur novice et aspirant écrivain, vit dans l’auberge officielle du temple. Il est fasciné par la diversité des situations qui ont mené ces femmes à venir chercher la protection que leur offre le statut de «kakekomi».