Le commerce de farce et attrapes étant peu lucratif, Léonard tente de cambrioler le dentiste Bonnenfant et échoue. Le dentiste arriviste et sans scrupule veut qu'il tue l'un de ses parents, un simple d'esprit à la tête d'une grosse fortune.
Deux gangsters decident d'enlever le fils d'un milliardaire. Mais ils se trompent de victime et prennent en otage le milliardaire lui-meme. Ce kidnapping ravi le riche homme qui en temps normal s'ennuie a mourir. Les deux bandits decident d'engager un troisieme complice. Mais celui-ci s'eprend de la fille du milliardaire.
Le service d'autocars du pere Pluff souffre de la concurence. Avec ses petits enfants, il organise un voyage surprise que ses adversaires tentent de saboter. Les clients prennent les catastrophes a la blague, se trouvant meme meles a des conspirations autour du grand duche de Stromboli.
Ce film est composé de plusieurs séquences, qui apparemment, n'ont aucun lien : Réflexions sur la vie des scopions, la noblesse, la répression, l'amour, l'Etat.
La mignonne fillette du comte de Perrault est en butte, cette fois, aux assiduites galantes d'un vagabond, satyre, qui la traque dans les fourres de la foret de Fontainebleau. Un hussard finit par delivrer la gamine et c'est lui qui l'emmene en ballon captif.
A Paris, en 1928, Pierre Prevert commence un film en noir et blanc qu'il finira en 1959 en couleurs. Ainsi les images d'avant la guerre comme la gare Saint Lazare et Kiki de Montparnasse se fondent sur les images en couleurs. Le texte est dit par Arletty.
Dans le Paris des annees 50, poesie et vie quotidienne s'unissent par la magie du verbe de Jacques prevert et les images de Pierre Prevert.
Dans une ville demeuraient deux hommes qui s'appelaient du même nom: Claus. Mais l'un avait quatre chevaux, et l'autre n'en avait qu'un seul. Donc pour les distinguer, on appelait le premier Grand Claus et le second Petit Claus. Grand Claus est une brute, un vaniteux, un coléreux qui profite de sa supériorité financière pour brimer Petit Claus.
