Accès rapide
-
Close-Up
-
Looking for Richard
-
Schizopolis
-
Despuès de la revolución
-
Adieu au langage
-
Le Paradis
-
Lullaby to my father
-
Nathalie Granger
-
Les hautes solitudes
-
Passion
-
India Song
-
Une sale histoire
-
Je vous salue Marie
-
Prenom carmen
-
Epidemic
-
Jane B. par Agnès V.
-
La dialectique peut-elle casser des briques ?
-
Jlg jlg
-
Level five
-
Vérités et mensonges

86%
Un jeune homme se fait passer pour un metteur en scène de cinéma pour pénétrer à l'intérieur d'une famille.

77%
Al Pacino, qui a déjà incarné par deux fois le ''Richard III'' de William Shakespeare, la pièce la plus populaire du dramaturge, s'interroge avec humour et passion sur l'art et la manière d'aborder un tel rôle, nous entraînant dans les coulisses de son théâtre intime pour nous faire partager sa passion de comédien.

58%
Sortie le 04 janvier 1997
Une analyse de la vie quotidienne et une interrogation sur les systèmes de communication qui avilissent l'homme, filmée sous forme d'embryons de fictions où aucun des schémas de la narration classique n'est respecté.
''Printemps 2004. Je suis invité en Argentine pour un festival de cinéma. Je rêvais Buenos Aires depuis toujours. Ce film est un collage, un tramage de matériaux : découverte d’une ville et d’un territoire surchargé à mes yeux d’un savoir secret. C’est aussi le journal d’une expérience érotique étrange, en forme d’alternative critique au film pornographique. Topographie d’une ville en crise (…) mais aussi métropole somptueuse, saturée de possibles, enivrante… Et relevé, enfin, d’un chant d’amour, d’un corps à corps mental.''
Le propos est simple
Une femme mariée et un homme libre se rencontrent
Ils s’aiment, se disputent, les coups pleuvent
Un chien erre entre ville et campagne
Les saisons passent
L’homme et la femme se retrouvent
Le chien se trouve entre eux
L’autre est dans l’un
L’un est dans l’autre
Et ce sont les trois personnes
L’ancien mari fait tout exploser
Un deuxième film commence
Le même que le premier
Et pourtant pas
De l’espèce humaine on passe à la métaphore
Ça finira par des aboiements
Et des cris de bébé
Depuis l’enfance, j’ai eu la chance de traverser deux mini dépressions de bonheur et j’attends, tout à fait serein, la troisième. Ça me suffit pour croire en une certaine beauté de la vie et avoir le plaisir de tenter de la filmer sous toutes ses formes : arbres, animaux, dieux, humains… et cela à l’heure où l’amour est vif.
L’innocence, le cinéaste en a perdu une partie. C’est si délicat à repérer autour de soi, si difficile à ne pas perdre au tournage. Ma reconnaissance va à ceux que vous regarderez à l’écran.
Pour tenir tête au temps, j’ai une parade qui est de fouiller dans mon stock d’émotions et d’images anciennes.
Non pour retrouver ce qui ne reviendra pas mais pour deviner dans l’hiver les signes du printemps. Cela permet de recommencer encore une journée d’un pas aisé.
Alain Cavalier
''Le film entrelace événements historiques et souvenirs intimes. J'observe la façon dont l'architecture représente les transformations de la société et ceux qui donnent forme à cette architecture.
Nous suivons le parcours de Munio, mon père, né en 1909 en Silésie, en Pologne, fils d'un métayer d'un junker prussien. A l'âge de 18 ans, Munio part à Berlin et à Dessau pour aller rencontrer Walter Gropius, Kandinsky et Paul Klee au Bauhaus. En 1933, le Bauhaus est fermé les nazis, qui accusent Munio de trahison envers le peuple allemand. Munio est emprisonné, puis expulsé à Bâle. Il part pour la Palestine. A son arrivée à Haïfa, il entame une carrière d'architecte et il adapte les principes européens modernistes au Moyen Orient.
Le film est un voyage à la recherche des rapports entre un père et son fils, architecture et cinéma, histoire d'un parcours et fragments de souvenirs intimes.''
Amos Gitai
Son mari au travail et ses enfants à l'école, Isabelle Granger reçoit une amie à qui elle parle de la violence que manifeste sa fille Nathalie. Un peu plus tard, les deux femmes entendent à la radio qu'un tueur rôde dans la région et voient arriver un démarcheur en machine à laver...
A partir de la solitude d'une femme, le réalisateur Philippe Garrel, tente de saisir l'invisible, l'indicible et l'inavouable qui en ressort.
Jerzy, un jeune cinéaste polonais tourne la reconstitution de tableaux connus Mais il ne parvient pas à obtenir une lumière parfaite. Pendant ce temps, une ouvrière, Isabelle, est licenciée. Elle rencontre Jerzy et devient sa maîtresse Ensemble, ils décident de partir pour la Pologne...
Aux Indes, années 30, sur les bords du Gange pendant la mousson d'été. Au bal de l'ambassade, la veuve de l'ambassadeur de France Anne-Marie Stretter est courtisée par le vice-consul Lahorre. Il lui crie son amour mais, touchée par cette passion, elle décide de partir, quittant ce pays ou règnent la misère et la maladie.
Dans un salon, un homme raconte à trois femmes comment il devint voyeur dans un café qu'il fréquentait, et pourquoi il y prit goût pendant un temps. Il avait observé le manège de certains consommateurs. En effet, dès qu'une femme se rendait aux toilettes, les hommes la suivaient et, grâce à un trou dans la porte, ils l'épiaient.
Marie est la fille d'un garagiste, Joseph est chauffeur de taxi. Au grand désespoir de Joseph, leur amour depuis deux ans n'est que platonique. Un soir, l'archange Gabriel se matérialise devant Marie. Cette apparition divine laissera quelques traces dans le corps de Marie... et dans l'infortuné Joseph.
Pour financer le film qu'elle doit tourner avec des amis, Carmen attaque une banque. Joseph, un gendarme, l'accompagne au bord de la mer chez l'oncle Jean. Ce dernier doit participer au tournage, qui n'est qu'un coup monte pour l'enlevement d'un industriel. C'est un echec et Joseph, fou d'amour, abat Carmen.
Afin d'écrire un scénario sur la peste, un réalisateur et son co-scénariste s'enferment dans un appartement. La recherche sur cette épidémie va les contaminer...
Portrait-collage en diverses fictions, réalités, fantasmes et reconstitutions de Jane Birkin par Agnès Varda.
La lutte de jeunes continentaux coreens contre l'occupant japonais ou la revolte des adeptes du karate contre les tenants de l'art du Kendo.
A la demande de la Gaumont, Jean-Luc Godard film Jean-Luc Godard chez lui en Suisse, à Rolle. On découvre ainsi les décors intérieurs et extérieurs de la vie du cinéaste, tandis que sa voix nous livre ses pensées. Programmé en salle avec ''Le Caire'', moyen-métrage de Youssef Chahine.
Laura termine l'écriture d'un jeu vidéo consacré à la bataille d'Okinawa (île du Japon où les civils à l'annonce de la défaite se sont jetés par milliers du haut des falaises). En rencontrant par l'intermédiaire d'un mystérieux réseau parallèle à Internet des informateurs et même des témoins de la bataille, dont Nagisa Oshima, Laura accumule les pièces de la tragédie, jusqu'au moment où elles commencent à interférer avec sa propre vie.
Orson Welles, en costume de prestidigitateur, évoque la vie de Elmyr de Hory qui a trompé les marchands d'art et les musées pendant plus de vingt ans en peignant des post-impressionnistes tels Modigliani, Braque, Matisse, Dufy, Van Dongen, Picasso, Vlaminck, qui laissèrent perplexes les meilleurs experts d'art moderne.