Retrouvez toutes les séances de cinéma du L'Entrepôt (Paris).
Les films en salles cette semaine :
Le règne animal, Ça tourne à Séoul ! Cobweb, La fiancée du poète, Ricardo et la peinture, Goodbye Julia…
Séoul, 1970 : Kim souhaite refaire la fin de son film "Cobweb". Mais les autorités de censure, les plaintes des acteurs et des producteurs ne cessent d’interférer et un grand désordre s’installe sur le tournage. Kim doit donc surmonter ce chaos, pour achever ce qu’il pense être son chef-d'œuvre ultime…
Mireille Stockaert est une femme solitaire et brisée. Amoureuse de peinture et de poésie, elle s’accommode de son travail à la cafétéria des Beaux-Arts de Namur. Sa vie bascule quand elle choisit d’habiter la grande maison familiale dont elle hérite. N’ayant pas les moyens de l’entretenir, elle décide de prendre trois locataires. Trois hommes qui vont bouleverser sa routine.
Barbet Schroeder nous propose un portrait de son ami le peintre Ricardo Cavallo qui consacre sa vie à la peinture. De Buenos Aires jusqu’au Finistère, en passant par Paris et le Pérou, ce film est une invitation à plonger dans l’histoire de la peinture mais aussi à découvrir la vie de cet homme qui, avec simplicité et humilité, s’est toujours engagé entièrement, jusqu’à transmettre sa passion aux enfants de son village.
À la veille de la division du Soudan, Mona, ex-chanteuse nord-soudanaise, cherche à se racheter d’avoir accidentellement causé la mort d'un homme sud-soudanais, en engageant sa femme comme domestique.
Un véhicule polonais sillonne les routes d'Ukraine avec à son bord des personnes évacuées suite à l'invasion russe. Le van devient un refuge fragile et transitoire, une zone de confidences et d'aveux d'exilés qui n'ont qu'un objectif, échapper à la guerre.
Alors que ses amis sont tous rendus blancs, Katak, le jeune béluga, est petit et gris. Pour prouver sa maturité, il compte exaucer le dernier souhait de sa mamie souffrante qui est de retrouver son premier amour dans le nord, à la Grande Banquise.
Une petite famille de musaraignes vit au bord du ruisseau. Mais un jour, de fortes pluies s'abattent, faisant céder le vieux barrage en amont de la rivière.
Une expérience cinématographique unique qui éclaire l’oeuvre d’un artiste et révèle son parcours de vie, ses inspirations, son processus créatif, et sa fascination pour le mythe et l’histoire. Le passé et le present s’entrelacent pour brouiller la frontière entre film et peinture, permettant de s’immerger complétement dans le monde de l’un des plus grands artistes contemporains, Anselm Kiefer.
Si Lydia, une jeune trentenaire, mène une brillante carrière de sage-femme, sa vie sentimentale est un désastre. Alors qu'elle vient de se séparer, Salomé, sa meilleure amie, lui annonce sa grossesse et lui demande d'être sa sage-femme. Le jour où Lydia recroise Amro, une conquête d’un soir, avec le bébé de Salomé dans les bras, Lydia lui annonce que cet enfant est le leur. D'abord incrédule, Amro embrasse sa paternité et Lydia s'enferme dans son mensonge, au risque de tout perdre.
En novembre 1975, débute le deuxième procès de Pierre Goldman, militant d’extrême gauche, condamné en première instance à la réclusion criminelle à perpétuité pour quatre braquages à main armée, dont un ayant entraîné la mort de deux pharmaciennes. Il clame son innocence dans cette dernière affaire et devient en quelques semaines l’icône de la gauche intellectuelle. Georges Kiejman, jeune avocat, assure sa défense. Mais très vite, leurs rapports se tendent. Goldman, insaisissable et provocateur, risque la peine capitale et rend l’issue du procès incertaine.
Le film raconte l'histoire d'Ansa, magasinier de supermarché en contrat zéro heure, puis trieur de plastique recyclable, et d'Holappa, sableuse, alcoolique, puis ex-alcoolique, dont les chemins se sont accidentellement croisés et qui, malgré l'adversité et les incompréhensions, essayez de construire une sorte de relation du côté le plus dur de l'État-providence.
« Mes enfants, » avait dit le vieux Gorcha avant de partir, « attendez-moi six jours. Si au terme de ces six jours je ne suis pas revenu, dites une prière à ma mémoire car je serai tué au combat... Mais si jamais, ce dont Dieu vous garde, je revenais après six jours révolus, je vous ordonne de ne point me laisser entrer, quoi que je puisse dire ou faire, car je ne serais plus qu'un maudit Vourdalak ». C’est dans une famille en proie à l’angoisse, au terme du sixième jour, que trouve refuge le Marquis Jacques Antoine Saturnin d’Urfé, noble émissaire du Roi de France…